06 août 2007

Entrée psychanalitique. A cet été qui te claque.

A ce désir d'écrire : chaude pisse.

30 heures de sommeil juste et profond.
30 heures entrecoupées de pause « clope-café ».
Une longue tirade de 16 heures (ou 960 minutes ou bien encore 57600 secondes), emmitouflé sous une couette en plein été. Sueurs vives.

Suivie d'une sieste dans un bain chaud, bière à la main, sueurs froides ?
Sorti du bain sans même s'essuyer.
Une clope de grillée, une de plus.
Je m'étale dans mon plumard, une fois de plus.

Serein, frissons de l'instant : ces gouttes qui perlent le long du cou,
Qui viennent s'écraser sur le drap encore imprégné de mon odeur.
Perdu dans les rêves,
Sans échappatoire à la sortie.

Encore !

30 heures en léthargie ; mais ce matin :
Levé tôt, journée de 12 heures, grosse fatigue. En prévision.
Halte pré-emptoire en son milieu pour mieux appréhender la suite.
Finest scotch whisky pour le lancer.

A s'agiter à du rendu ludique.
Et de la glace pilée.
A une marge de progression.
Trinquons !

Aux heures passées, aux heures à venir.
Souffle coupé.

Tirer un trait, mettre un blanc, fixer une parenthèse sur le quotidien qui s'étale, s'installe et te tue peu à peu.

Au « cosmoPOPO », sa délectation et tout le reste.

A cet été qui te claque.

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