26 février 2007

Fauteuil d'orchestre

« Culotté à mort
Détesté à tort
Statique ; à développer nos anticorps »

Relans névrotiques...
Poussée épistolaire – rires

Approche analytique – La méthode

Compréhension du mouvement ; préférence pour l'immobilité ; l'inanisme des cieux qui toujours de leur coupole nous abritent et habitent ; de leur quiétude, son inverse.

Pourtant rien ne bouge ; « Septembre en attendant » ; et ce « Bouquet de nerfs »

Fusion spirituelle ; pour quelle carnalité ? Faut il en chercher ou se défaire de cette « association platonienne » ? Ou combler – par autopersuasion – tous ces petits trous par iconoclasme ludique ? La tromperie en chacun de nous ; pourquoi s'évertuer à parler ; poser des mots – au delà d'une réthorique bien précise ; rien ne change vraiment

« Septembre, en attendant »

Maintenir dans l'homicide, c'est vivre.

Appel à cet angélisme ou rien ne meurt vraiment. Incertitude. Vanité.
Sous nos chapiteaux; nos arcanes se destructurent à mesure que ce grand tout, ce spectacle, cette représentation avance et tente de s'en échapper.

Brûle Babylone, brûle !

La trame s'effiloche.

Plus que du noir dans ma palette ; je peux gouacher quoi au juste ?

Baudrillard, Rey, BukowSKY. Par identification ; jalonnement ; enfouissement ; dégagement.
Désirez, surprenez, violez. Vos cadavres. A Paris ou non. Peu importe votre « cocktail », votre délivrance.

Pêché à demi-induit, déjà pardonné ?
Tout passera, tout s'oubliera, tout adviendra que pourri.

De trop parler (nuit), de trop partager (cuit), de ces affres désordonnés de l'esprit (à chat sourit)

(...)

Ménagerie trop bruyante.

Nabil ; ce fauteuil d'orchestre ; c'est pour quand ?

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